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"JE T'AIME"

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Dio Vasselinov a raison, tant que l'on n'a pas eu la force ni le courage de regarder l'autre droit dans les yeux pour lui dire "Je t'aime", c'est que nos barrières ne sont pas encore toutes tombées !

C'est que la peur de ses réactions existent toujours. Si nous avons peur de ses réactions, c'est que notre ego a laissé quelques références au passé en notre fonctionnement interne.

C'est que l'ego se réfère encore aux barrières physiques, sociétales ou autres.

C'est que l'âme n'est pas encore complètement aux commandes. Or, l'âme ne se soucie pas des réactions de l'autre. Elle aime, point final ! 

 

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Il est plus facile d'écrire "Je t'aime" que le dire en face à face le regard plongé dans celui de l'autre. L'impact d'un échange verbal est beaucoup plus fort que l'écrit. Il engage la personne qui l'exprime. Ce n'est pas qu'il engage vis à vis de l'autre, de celui ou de celle à qui nous l'exprimons, il engage nous-même vis-à-vis de nous-mêmes. Il est le révélateur de notre vérité, de notre authenticité.

 

Certes, je me suis trouvée dans cette situation où contre toute attente, mon "jumeau" m'avait appelée par mon prénom, interpellant mon âme et la touchant de plein fouet !  

 

Selon le jugement immédiat de mon ego, le moment ni l'espace ne s'y prêtaient.

 

Cet ego prenait immédiatement les rênes, zappant mon âme en état arrêté de délice.

Encore une fois,  mon "jumeau" saisissait mon âme par son attitude intime inattendue en des circonstances professionnelles. Et ce, d'autant qu'il s'était fait attendre un maximum, ses pas légers et rapides ne cessant d'aller et venir entre la salle d'attente et la porte d'un très long couloir.  Ses pas n'avaient eu de cesse de s'arrêter de venir puis de repartir derrière la porte. Alors que pendant ce temps je priais Dieu de lui donner la force d'ouvrir cette sacré porte qui nous séparait, je le suppliais de l'aider dans son masculin supérieur.

 

Et toujours en paradoxe, parallèlement à cette prière, je craignais terriblement de vive à nouveau les phénomènes de l'énergie. Devais-je le saluer en lui serrant la main ? Devais-je prendre le risque de toucher sa main en le saluant ?? 

La porte était restée fermée. C'est moi qui l'ouvrait ensuite sur une situation inédite où il semblait tout simplement avoir disparu pour une "urgence". Et c'est au moment où je ne l'attendais plus qu'il était apparu.

 

Après avoir pris son courage "à deux mains", en pleine puissance de son masculin supérieur, il m'avait rejoint, les yeux plantés dans les miens puis :

-  Vous venez ... ? "  il ajoutait doucement mon prénom prononcé à la mode italienne ... me laissant une fois de plus désarçonnée. Il ne me tendait pas sa main pour me saluer. Il me précédait cette fois dans l'espace réservé aux entretiens en face à face.

 

Tout son comportement m'a ensuite laissée sans voix. Attendrie par ses efforts pour épargner ma dignité de femme repentante, j'avais répondu à ses questions avec douceur et une infinie tendresse. Toutefois c'est l'ego qui exprimait des mots courts, pas moi !

 

Alors que je tentais de retrouver mon intériorité et la connexion à mon âme, l'échange officiel était achevé.

Il annonçait la fin de l'entretien. Il me rejoignait à mon niveau, dans l'espace confidentiel de son bureau. Nous nous retrouvions donc au même endroit que deux ans auparavant, là où il s'était écrié en me saisissant le bras :  "attention à la marche".

 

Il avait plongé soigneusement sa main gauche dans sa poche.  Celle qui avait touché et soutenu mon bras, deux ans auparavant. Je le regardais s'avancer vers l'angle de la pièce conduisant à la sortie. J'exprimais un son. Il se tournait vers moi, les bras croisés sur son torse.

Je tentais de lui parler avec mon cœur. Les mots ne sont pas sortis de ma bouche. D'autres les ont remplacés. Je lui disais seulement que " la VIE m'avait ramenée vers lui "... La phrase était formulée au passée puis au présent, mais laissait à penser peut-être que la VIE m'avait obligée à revenir sans mon consentement. Or, bien évidemment, c’était mal exprimé, c'était faux. Et pour cause : mon ego reprenait le fil de l'échange. Il expliquait les choses apparentes et imposait silence à mon âme.

 

Voyez-vous quel travail sur soi terrible demande l'ego ??  

 

Cet ego craint tellement ce qu'il considère comme étant les excès de l'âme, qu'il la moleste !  Il imagine que l'âme va me jeter dans ses bras, ou que je vais l'embrasser comme une dingue ! Et qu'il va être couvert de honte, lui ! l'ego ! L'ego nous fait croire que nous allons être couverts de honte ! Quel malhonnête ! C'est un système interne qui anticipe négativement ce que l'âme pourrait pousser à faire sur le plan physique. C'est un CENSEUR de l'âme ! Un briseur d'âme, un TERRORISTE ! ...

 

 

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Aujourd'hui tellement bien dans ma vie et expérimentant des événements très forts, dynamiques et réjouissants à l'extérieur, je suis dans l'accueil complet à l'intérieur. Je suis en complète harmonie. Je ne prends ombrage d'aucun agissement de mon jumeau.

D'une certaine façon, je m'en fiche. S'il agit de façon blessante ou apparemment incohérente, c'est qu'il est peut-être comme moi dans ces moments-là si difficile à gérer : plein de maladresse, l'ego restant à dominer.

Comme dit Adeline, c'est le mal qui tente de séparer les flammes via l'ego. C'est l'emprise du mal sur l'ego qui sépare apparemment les flammes.

 

Si tu savais combien je m'aime et suis heureuse ...

 

 

ENTRE NOUS

 

 

 

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MERCI D'AVOIR ÉTÉ CELUI QUI M'A ÉVEILLÉE À CETTE MERVEILLE

 

 

L'ENVIE D'AIMER

 

 

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elamarriti@protonmail.com

 

 

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